Du point de vue européen, rien n’est véritablement défini. Chaque pays continue d’avoir la main sur ses autorisations et ses interdits en matière de jeux d’argent sur internet. Qu’en est-il de la France dans ce paysage législatif hétérogène ? Plusieurs informations semblent indiquer que l’Hexagone pourrait se diriger prochainement vers une légalisation des casinos en ligne. Ce ne serait guère étonnant du reste au vu du contexte permissif et libéral qui prédomine en Europe.

Un cadre plus permissif pour les casinos du web ?

L’Autorité nationale des jeux (ANJ) a publié début décembre une étude sur l’offre illégale, en France, de jeux d’argent et de hasard en ligne. L’institution se maintient dans la partie de sa mission qui consiste à lutter contre les pratiques ludiques illicites de manière plus efficace. 

En creux, cette étude montre également que l’ouverture du marché français aux casinos en ligne – déjà autorisés dans la plupart des pays européens – est à la réflexion. La question qui se pose dès lors est la suivante : la France légalisera-t-elle enfin les casinos internet comme la plupart de ses voisins européens, quitte à le faire dans un cadre serré ou même étriqué ?

Des casinos en ligne et des joueurs mieux contrôlés

D’autres pays ont déjà franchi le pas de la légalisation des casinos en ligne, notamment en raison de leur popularité croissante, mais aussi, bien sûr, des opportunités économiques offertes par ce secteur.

Un marché contrôlé avec des acteurs économiques locaux et des joueurs déclarés passerait sous le coup de la fiscalité. En plus des rentrées, il serait alors plus simple d’exercer des coercitions sur les vilains canards qui se mettraient hors la loi en jouant dans des casinos internet n’entrant pas dans le cadre de la loi.

Autre argument en faveur d’une légalisation du secteur, ces dernières années, le marché des casinos en ligne semble se réguler et mettre en place de meilleures pratiques à l’échelle mondiale. Dans ce contexte, un encadrement permettrait aussi d’avoir un impact favorable sur plusieurs éléments qui, en l’absence de cadre légal, demeurent hors de portée.

• La mise en place de licences locales pour les opérateurs
• La protection des joueurs et la lutte contre les addictions (voir l’exemple de la Belgique)
• Le contrôle des flux financiers et la prévention du blanchiment d’argent
• L’encadrement publicitaire et le respect de l’éthique. ie également l’ouverture d’espaces publicitaires légaux et donc un nouveau marché juteux.

En prenant exemple sur ces régulations internationales, la France pourrait donc mettre en place un cadre légal adapté à l’essor des casinos en ligne.

Les avantages d’une légalisation encadrée

C’est une règle en droit. La légalisation fournit toujours un cadre d’exercice et donc des moyens de contrôle et d’encadrement (sous réserve qu’ils soient assortis de moyens financiers). Si le marché est lucratif, les moyens sont toujours là.

En l’absence d’autorisation d’exercice des casinos en ligne sur le sol français, ceux qui opèrent actuellement échappent au contrôle du législateur et du fiscaliste puisqu’ils sont hors sol. Internet étant un vaste monde sans frontières, ces établissements de jeux peuvent d’ailleurs opérer sous licence parfaitement légale, à ceci près qu’elle est délivrée par une autorité extérieure à la France.

La légalisation des casinos en ligne en France présenterait donc plusieurs avantages. Tout d’abord, elle permettrait de lutter plus efficacement contre les sites illégaux et de mieux protéger les joueurs. De plus, et c’est, bien sûr, toujours l’avantage des casinos et des jeux d’argent quand ils sont légalisés, l’État pourrait percevoir des taxes sur les revenus liés à cette activité.

Les innovations dans le monde des casinos en ligne

Les casinos en ligne font partie des industries de pointe chères aux investisseurs dans les économies numériques. A la remorque des progrès des nouvelles technologies et du marketing, ces sites de jeux ne cessent, en effet, d’évoluer et d’innover. La concurrence est, en partie, à l’origine de cette émulation mais les gains du secteur favorisent aussi les investissements.

Jeux toujours plus attractifs et innovants, créativité débridée pour multiplier les titres, jeux avec live croupier plus vrais que nature, sans parler des recherches sur la réalité virtuelle ou la réalité augmentée pour concevoir dès à présent les casinos online de demain : on se creuse les méninges du côté des studios de création de jeux.

Aux Etats-unis, on a même vu apparaître les premiers jeux faisant appel à la fois au hasard et à l’habilite. Encore peu populaires pour l’instant, ce jeux hybrides à l’intersection du jeux vidéo et des jeux de hasard et d’argent pourrait bien bousculer encore plus le secteur dans un proche avenir et lui ouvrir de nouvelles portes.

Quoi qu’il en soit, toutes ces start-up et ses esprits en ébullition ont de quoi faire rêver des politiques français et européens toujours à la recherche de nouveaux débouchés économiques. Ces innovations pourraient dès lors convaincre de plus en plus de personnes d’accepter une démocratisation et une légalisation des casinos en ligne en France.

Vers une légalisation des casinos en ligne français ?

La dernière loi qui avait autorisé les paris sportifs et le poker sur internet date déjà de 2010 en France. Depuis, le ciel n’est toujours pas tombé sur la tête des irréductibles gaulois. Alors, on peut imaginer que le changement n’est peut-être pas si loin que ça. La France pourrait suivre l’exemple récent de la Belgique ou d’autres états européens. Le cas échéant, le secteur des casinos en ligne en France pourrait, à son tour, connaître un tournant majeur. 

Redisons le, la légalisation et la régulation permettraient de mieux encadrer cette activité en plein essor tout en offrant certaines garanties aux joueurs. Reste à savoir si les autorités françaises franchiront effectivement ce pas en prenant le risque de se mettre à dos une partie de la population plus conservatrice et moins enthousiaste en matière de jeux d’argent.

L’article Les casinos en ligne en France : vers une légalisation prochaine ? est apparu en premier sur tailordev.fr.

Le marché des Apps en 2021

Au cours de l’année 2021, plus de 160 milliards de dollars ont été dépensés sur le marché des applications mobiles. En moyenne, cette année aurait enregistré près de 230 milliards de téléchargements d’applications. Cela représente une hausse d’environ 5 % par rapport à l’année précédente. Ces chiffres incroyables résultent notamment d’une conjoncture particulière.

En effet, la pandémie de la covid-19 a contraint les utilisateurs de smartphone à se rabattre sur le numérique. Cette demande en croissance a permis au marché des Apps de réaliser son plus grand record en matière de chiffre d’affaires. Ainsi, le nombre d’applications qui génèrent plus de 100 millions de dollars par an a nettement augmenté.

Désormais, plus de 200 jeux et applications mobiles engrangeraient plusieurs centaines de millions de dollars par an. Parmi elles, certaines seraient même en mesure d’aller au-delà du milliard de dollars par an. De ce fait, l’application la plus téléchargée en 2021 est TikTok. Lancée en 2016, cette application a su profiter de la pandémie pour se hisser au rang des leaders du marché.

Une intrusion et des dangers bien réels

Bien qu’elles soient utiles, les applications mobiles exposent de plus en plus leurs utilisateurs à des risques non négligeables. En 2014, une étude menée par Gartner montre que près de 75 % des applications mobiles échouent lamentablement aux tests de sécurité basique. Il faut dire que, pour la plupart, ces applications collectent des données personnelles (géolocalisation, information sociale, photos…) à l’insu de leurs utilisateurs. Des trous de sécurité massifs en quelque sorte pour la vie privée des personnes et leur datas. Allant plus loin dans leur intrusion, il arrive même qu’elles interagissent avec des données sensibles.

Aujourd’hui, nombreuses sont les applications qui intègrent des technologies dangereuses dans leur système. À l’image des « chevaux de Troie », des « intercepteurs OTP » et des « screenloggers », ces technologies rendent vulnérables les utilisateurs. Pour leur propre sécurité, ceux-ci sont désormais obligés de se renseigner en profondeur sur toutes les applications qu’ils envisagent de télécharger. En outre, ils doivent toujours faire preuve de vigilance pour éviter les malwares qui feront surface à l’avenir sur le marché des Apps. Si on ne doute pas que le marché soit prêt à installer tout un tas de choses peu transparentes, la capacité de discernement des utilisateurs et leur compréhension des enjeux sont en question.

L’article Le marché des applications mobiles et leur danger est apparu en premier sur tailordev.fr.

Une ascension fulgurante

L’intelligence artificielle est une technologie qui a vu le jour dans les années 60. Elle regroupe l’ensemble des programmes numériques qui visent à reproduire l’intelligence humaine ou à y suppléer. Bien qu’elle n’ait pas toujours gagné la sympathie de tous, elle s’est très vite imposée pour l’avenir du monde. D’ailleurs, elle est encore, assurément, l’une des plus intéressantes technologies de notre époque.

Dans une société en proie à une certaine dématérialisation, l’intelligence artificielle a enregistré une ascension fulgurante. Faisant constamment l’objet d’une grande couverture médiatique, elle est désormais citée au cœur des plus grands débats de notre société. Si elle continue d’inquiété ou de faire peur, elle ne cesse de s’améliorer pour relever de nouveaux enjeux.

En matière de finance, elle représente notamment un flux de datas et de ressources financières toujours plus élevé qui se traitent et s’échangent chaque millisecondes. De telles décisions ne pourraient jamais être prises aussi vite par le cerveau humain. D’après certaines statistiques, l’étude et l’utilisation de l’intelligence artificielle ont connu une hausse au cours des dernières décennies. La finance n’est pas la seule qu’elle a conquis et nombreux sont alors les secteurs qui souhaitent intégrer cette technologie à travers leurs produits et services. On pense à la domotique, aux secteurs automobile et à tant d’autres encore.

Des apports non négligeables

Les apports de l’intelligence artificielle dans le secteur de la finance sont multiples et variés. En effet, depuis son avènement, cette technologie n’a cessé de bouleverser les habitudes de ce domaine d’activité. En outre, elle représente un nouvel outil de différenciation pour les organismes financiers. Grâce à ses performances, ceux-ci peuvent offrir des services plus personnalisés à leurs clients.

Dans le principe, l’intelligence artificielle est un aussi excellent outil de détection de fraudes sur le marché financier mais pas uniquement. Elle réduit, en effet, considérablement la volatilité émotionnelle qui caractérise l’être humain. Autrement dit, elle permet de contourner les comportements humains qui impactent négativement la productivité dans la prise de décision. Facilitant la collecte et la hiérarchisation des données, elle favorise l’émergence des solutions collaboratives.

Par la même occasion, l’intelligence artificielle renforce significativement la performance et la pertinence des fonctions non compétitives des établissements financiers. Elle va plus loin, en impactant les marchés de la bourse et du Forex. À travers la technologie des tradings bots, elle permet d’analyser les séries temporelles de ces marchés. À l’aide des analyses prédictives qu’elle fournit, réagir sur ces marchés est aussi plus aisé.

Des personnalités comme Elon Musk ne cesse d’alerter sur les dangers de l’IA, mais la fuite en avant est engagée. Dans tout cela, on ne peut pas s’empêcher de réfléchir à comment la contenir car le revers de la médaille n’est jamais loin. On cite souvent certains programmes d’IA américaine ayant failli, il y a quelques décennies, déclencher une guerre nucléaire totale et déclencher l’envoi de pluies de missiles en direction de l’URSS sur une simple fausse alerte. C’est grâce a un homme qui a compris et surtout vu des ses propres yeux que l’alerte n’était que numérique et qu’aucun missile russe ne menaçait les américains que nous devons aujourd’hui d’avoir survécu à ce qui aurait pu être un holocauste.

L’article L’intelligence artificielle au service de la finance est apparu en premier sur tailordev.fr.

Le rôle des mathématiques dans les jeux de casinos

Dans leur concept même, les jeux de casinos essayent de confronter les joueurs à des évènements aléatoires. Bien que cela soit enclin à une certaine incertitude, ce mode de fonctionnement n’est pas toujours dépourvu de logique. En effet, il arrive souvent que les jeux de casinos se soumettent à des préceptes mathématiques. Une fois maîtrisés, ces préceptes offrent au joueur la possibilité de mieux se situer en cours de partie. Ces notions mathématiques peuvent notamment l’aider à améliorer ses chances de réussite ou à diminuer ses chances d’échec.

Avant même de commencer à jouer, les mathématiques permettent de résorber les problèmes liés aux intérêts, dépenses, créances et impôts. Mettant à profit leurs précisions, elles ont la capacité de réduire les risques de pertes chez un joueur et surtout d’être parfaitement conscient du budget qu’il peut s’allouer à une table de jeux.

En dehors des avantages qu’elles offrent aux amateurs de jeux, les mathématiques sont aussi très utiles aux établissements de jeux. Ce sont elles qui leur permettent d’entrevoir et de répondre convenablement aux attentes de leurs clients. Ce sont elles aussi qui règlent les taux de redistribution de certaines machines à sous ou leur volatilité et donc les gains des établissements. Employées à bon escient, elles sont de véritables fers de lance pour les casinos et que les jeux soient traditionnels ou qu’ils s’agissent de jeux en ligne.

Les jeux qui nécessitent l’intervention des mathématiques

Plusieurs jeux de casinos font intervenir les mathématiques dans leur concept.

Le Blackjack

Le Blackjack est l’un des incontournables des casinos traditionnels et des casinos en ligne. Il est basé sur des principes relativement simples. Pour gagner, le joueur doit battre le croupier avec une bonne combinaison de cartes. Comparé aux autres jeux de tables, le Blackjack offre un avantage numérique faible aux casinos (environ 0,50 %). En face des joueurs stratégiques, cet avantage peut atteindre la barre des 2,74 %. Partant de ces estimations mathématiques, ce jeu serait plus bénéfique aux joueurs qui utilisent peu de decks.

La roulette

À première vue, la roulette semble être un jeu qui ne suit aucune logique. Beaucoup de joueurs sont d’avis que ses rotations sont difficiles à prévoir. D’autres vont plus loin en certifiant que la roulette est basée sur des évènements indépendants. C’est sans compter que les attentes qui découlent d’elle sont régies par des ensembles complexes. Toutefois, la plupart des joueurs qui cartonnent dans ce jeu sont ceux qui ont une connaissance des mathématiques. La roulette est, en effet, un jeu soumis aux lois de la probabilité et ses possibilités extensives de mises (pair, impair, rouge, noir, numéro seul, série de numéros, etc) ont inspiré de nombreux martingales. D’autres se sont fait piégés à trop les rechercher ou les fantasmer. En définitive, il reste que l’aléa joue sa part et qu’il faut mieux jouer pour s’amuser même en le faisant avec les probabilités.

La machine à sous

Eh oui ! Même les machines à sous entretiennent une relation étroite avec les mathématiques. Nous le disions plus haut, de manière générale, les casinos se servent des mathématiques pour percevoir des pourcentages sur les machines à sous. Ainsi, pour minimiser leur avantage et les risques de pertes, le joueur peut notamment se servir des lois de probabilité. Lorsqu’elles sont bien utilisées, ces lois peuvent permettre au joueur de calculer ses chances de réussite. Durant les parties, cette stratégie pourrait l’aider à prendre les meilleures décisions. Choisir une machine à sous qui a un taux de redistribution élevé (RTP) et fréquent (volatilité) pourrait aussi l’aider à régler son style de jeux.

Des pratiques de jeux nouvelles à l’ère numérique

Pour conclure, voilà donc un sujet fascinant qui n’aura pas surpris les amateurs de probabilités et de jeux de casinos. A en juger, ils sont plutôt nombreux en France. En effet, le secteur des jeux de hasard et d’argent continue d’y avoir le vent en poupe, même si la révolution numérique semble avoir vu se développer des pratiques de plus en plus casanières.

Finis les calculs à l’ancienne du budget essence à prévoir pour aller se détendre devant des machines à sous ou une table de roulette. On allume internet et tout est là, à portée de main ! Les sites de jeux et de paris virtuels abondent. Certains casinos déroulent même des milliers des jeux. En dehors du poker et des paris sportifs autorisés par la loi de 2010, tous n’exercent pas sous licence et avec l’assentiment du législateur français. Toutefois, il se pourrait que la situation soit en passe de changer. Alors à quand des casinos en ligne légalisés en France ? C’est une des questions que nous nous sommes posés.

L’article Jeux de casino et mathématiques est apparu en premier sur tailordev.fr.

Ada Lovelace

Ada Lovelace est l’un des principaux précurseurs de la science informatique. Mathématicienne de formation, elle est née à une époque où l’informatique n’était pas à son apogée. Malgré cela, elle a su écrire le tout premier vrai programme informatique. Celui-ci sera utilisé plus tard pour la fabrication de la machine analytique du mathématicien anglais Charles Babbage. À ce jour, Ada Lovelace est considérée comme la première programmeuse au monde. Dans ces mémoires, elle a notamment décrit les avantages pouvant découler des calculateurs universels.

Linus Torvalds

D’origine finno-américaine, Linus Torvalds est un ingénieur au parcours épique. À l’âge de 21 ans seulement, il a créé le noyau du célèbre système d’exploitation Linux. Poursuivant ses recherches, il édite par la suite le logiciel de contrôle décentralisé Git. Il va plus loin, en concevant le programme de planification et d’enregistrement des plongées Subsurface. Au regard de ces innovations, il a reçu de nombreux prix : le Pioneer de l’Ectronic Frontier Foundation en 1998, la médaille Lovelace en 2000, le Millenium Technology en 2012, le Computer Pioneer Award en 2014…

Bill Gates

Bill Gates est incontestablement le plus célèbre programmeur du monde. Informaticien d’origine américaine, il est considéré comme le principal pionnier de la micro-informatique. Alors qu’il n’était qu’un étudiant, il crée son propre langage informatique : le BASIC. À l’âge de 20 ans, il s’associe à Paul Allen pour fonder une société de logiciel. Appelée Microsoft, ladite société s’est très vite hissée au rang des plus grandes entreprises du monde. Bill Gates figure parmi les hommes les plus riches du monde. L’un de ses plus grands succès est la création du célèbre logiciel d’exploitation Windows. Aujourd’hui spécialisé dans les vaccins et le médical, il est aussi contesté et détesté que loué dans le monde, suivant les pays et les avis.

Dennis Ritchie

Dennis Ritchie est à l’origine de la création du langage informatique C. Associé à son collègue Ken Thompson, il conçoit tous les paramètres du système d’exploitation UNIX. Sans ses lumières, l’informatique telle que nous la connaissons n’existerait pas. En effet, le langage informatique de Dennis Ritchie est utilisé dans le processus de programmation des plus grandes innovations informatiques du monde : Windows, Firefox, Linux, Google Chrome, Xbox, MacOSX, C++, PlayStation… Aujourd’hui, on estime que plus de 80 % des applications du marché reposent sur des codes issus du langage C.

Mark Zuckerberg

Beaucoup de personnes connaissent Mark Zuckerberg comme étant le fondateur de la société Facebook. Avant d’être à la tête de cette grande entreprise, il était un programmeur lambda. De nombreux professionnels diraient même que Mark Zuckerberg est un peu rouillé en matière de codage. Cela ne l’a pourtant pas empêché de devenir le premier développeur à avoir inséré des lignes de code dans un réseau social. En place depuis de plusieurs années, son réseau social Facebook a incontestablement changé les habitudes du monde. Le film qui narre son aventure semble mettre en lumière que le concept originel n’était ni son idée, ni de son fait mais c’est en tout cas lui qui a codé les premières versions de Facebook. Aujourd’hui, il semble tout entier investi dans le Multiverse et désireux de créer une application ou même un monde tout droit sorti du film Ready player one de Spielberg.

L’article Des programmeurs qui ont changé le monde est apparu en premier sur tailordev.fr.